Alors que la réalité de la gestion de la société algérienne par le massacre et le terrorisme d’Etat apparaît jusque dans les cours de justice française (procès Nezzar/Souaïdia, procès des attentats de 1995 à Paris, etc.) ;
Alors que toute la société algérienne est prise en otage, colonisée par la mafia des généraux et l’oligarchie internationale de l’industrie pétrolière ;
Alors que dans l’indifférence mondiale, la Kabylie est un état d’insurrection ouverte et que, sur le reste du territoire algérien, des émeutes quotidiennes éclatent contre un pouvoir vomi ;
La France, en organisant une telle diversion « culturelle » (à laquelle de nombreux algériens sollicités ont déja refusé de participer), continue à soutenir le régime meurtrier d’Alger et à entretenir le silence et le mensonge sur sa sinistre acceptation de la politique terroriste algérienne, intérieur et diplomatique.
Paris, janvier 2003
contact : C/° ACNM – BP 178 – 75967 Paris cedex 20.
A Tizi-Ouzou six prisonniers sont en grève de la faim depuis le 3 décembre 2002. grèvistes depuis bientôt un mois ils sont dans un état critique. A la prison de Béjaia et Bouira vingt-cinq prisonniers.
Tous sont en attente de jugement.