Une semaine antisécuritaire est proposée
du 29 avril au 5 mai pour donner plus dampleur à des mouvements
souvent isolés et méconnus : cette semaine commune de débats,
dactions, permettrait à chaque collectif de sexprimer
plus efficacement là où il est, en fonction de ses forces
et de ses particularités. Nous pourrions imaginer de mettre en
commun quelques outils (affiches, autocollants, réunions publiques
),
quelques cibles (les garants de la citoyenneté, les porte-parole
du discours sécuritaire
) et quelques thèmes dintervention
(transports, halls, instances européennes, prisons
) en espérant
que ces manifestations soient coordonnées dans le plus dendroits
possible. |